Commencés en septembre 2016, les travaux du Complexe des sciences vont bon train. En ce début octobre 2017, près de 400 ouvriers s’affairent sur le chantier. Une véritable fourmilière qui mobilise tous les corps de métier.
Quand on entre dans les jardins aménagés sur le chantier du futur campus MIL, la ville semble loin. En ce samedi 23 septembre, l’été joue les prolongations. Il fait beau et chaud et le bourdonnement des insectes emplit l’air. Des centaines de personnes sont venues assister à la 3e Fête des récoltes.
Les villes d’aujourd’hui font face à des défis sociaux, économiques et environnementaux profonds et qui transforment la construction des communautés et le Vivre Ensemble.
Pour mieux connaître les communautés, pour mieux comprendre les récits qui s’incarnent dans la ville, les groupes communautaires, les innovateurs sociaux, les chercheurs développent des pratiques, des outils, des expériences qui placent l’écoute et le dialogue au coeur de la transformation urbaine.
Plusieurs centaines de curieux ont répondu à l’invitation de l’Institut de recherche sur les exoplanètes qui avait convié petits et grands à participer à une journée de célébration cosmique sur le campus MIL de l’UdeM le 12 août dernier.
Cet été, une montagne construite collectivement, le Mont Réel, émergera à Montréal, offrant un lieu de rencontre pour les communautés avoisinantes et un laboratoire in situ pour expérimenter la (bio)diversité urbaine. Initié par le Goethe-Institut Montréal et réalisé en partenariat avec le consulat général de France à Québec et l’Université de Montréal, ce projet réunit des architectes, designers, médiateurs culturels et artistes d’Allemagne, de France et du Québec.
Alain Boilard, directeur général – développement campus MIL, fait le point sur la construction du Complexe des sciences de l’Université de Montréal.
L’Université de Montréal lance la programmation de la troisième saison des Projets éphémères sur le site du campus MIL. De juin à octobre, cette friche industrielle devient un lieu rassembleur d’apprentissage et de rencontres autour de la science, de la culture, de la production locale et de l’initiative citoyenne dans une perspective de développement durable.
Voilà une quinzaine d’années, le coin ne payait pas de mine. Usines abandonnées, petites maisons d’ouvriers, garages et terrains vacants jalonnaient ce qui est resté un véritable labyrinthe, où les rues bifurquent et finissent en culs-de-sac, coupées par la voie ferrée.